A l’ombre des risques industriels Budapest mai 2011
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- Kategória: A l’ombre des catastrophes industrielle - Articles
- Írta: Sylvie Mayer
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[Ce texte est basé sur l'article de Uladzimir Valodzin "Comment on construit la centrale nucléaire biélorusse" publié sur le site de l'édition biélorusse du Monde diplomatique en avril 2010 (http://www.monde-diplomatique.by)]
Le 25e anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl a été commémoré sur fond d'accident dans la centrale nucléaire japonaise de Fukushima-1. Cette année, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dans le monde entier pour rappeler le devoir de mémoire et réclamer la sortie du nucléaire. Curieusement, aucun événement majeur n'a été observé ce jour-là en Biélorussie, pays qui a pourtant le plus souffert des retombées radioactives de l'explosion nucléaire en Ukraine.
Le dernier accident industriel à Fukushima a des aspects particuliers dont je ne traiterai pas ici ; mais il ne doit pas cacher l’ampleur des risques liés aux industries traditionnelles (métallurgie, mécanique, chimie…) pour les salariés et les populations avoisinantes.
Mon propos se fonde sur plus de 20 ans de responsabilités électives dans le secteur environnement et gestion des risques, pour des Collectivités d’une région qui concentre prés du tiers de la chimie française et sur la collaboration avec de nombreux syndicalistes et associatifs ; je suis donc surtout le porte parole de cette expérience et de cette réflexion collectives.
Pour une large consultation sur leurs causes, les possibilités de leur prévention et de leur traitement a l’échelle de la société
Plusieurs accidents récents soulignent l’actualité de la question: la triple catastrophe qui vient d’endeuiller le Japon, et qui a ranimé sur le champ les discussions touchant l’utilisation des centrales nucléaires. Chez nous, en Hongrie la catastrophe des boues rouges nous a touché l’année derniere de plein fouet. Parmi les accidents les plus graves nous pourrions mentionner la catastrophe de Seveso, en Italie, celle de Bhopal en Inde, ou encore l’explosion du combinat chimique AZF, pres de Toulouse, sans oublier Tchernobil parmi les plus graves, que nous rappelle justement ces jours-ci de facon douloureuse la catastrophe de Fukushima.
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